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La kippa et la loi du pays.
Au chapitre 2, paragraphe 6 du Ora’h ‘Haïm, le Choul’han ‘Arou’kh enseigne que l’on ne doit pas marcher quatre coudées (soit à peu près 2 mètres) la tête découverte (BéGuilouy HaRoch) ; le Rama donnant comme raison à cette prescription la déférence que nous avons le devoir de témoigner à l’endroit de la Providence Divine (Ché’khina). Cet enseignement du Choul’han ‘Arou’kh a fait l’objet d’un abondant débat aussi bien parmi les Richonim (décisionnaires antérieurs au Choul’han Arou’kh) que parmi les A’haronim (décisionnaires postérieurs au Choul’han Arou’kh). L’on peut résumer ce débat à une question simple.
Ne faites pas ce que je fais
Depuis plus de 3 338 ans, nos sages n’ont cessé d’étudier la Torah dans ses moindres détails. Et pourquoi ! Afin d'essayer de comprendre plus précisément le message divin inscrit dans la Torah écrite, usant de la Torah orale, elle même mode d’emploi du service de l’Éternel.
La dimension éternelle de Pourim.
Nos Ha’khamim (sages) nous enseignent, dans un Midrash rapporté par le Yalk-out sur le livre des Proverbes, que la fête de Pourim subsistera éternellement. En effet alors que toutes les autres fêtes du calendrier juif cesseront d’être célébrées, la fête de Pourim perdu-rera même après la venue du Machi’ah. Pour le Rambam (Hil’khot Méguila 2:18) la source de cet enseignement se trouve dans la Méguilat Esther 9:28.
Guitine, Daf 79b
Dans la guemara Guitine 79b, la Mishna va expliquer que les Hakhamim ont été extrêmement pointilleux quand au respect de la forme que doit avoir un guett et dans le cas d’erreur entraînant son invalidation, les conséquences seront désastreuses.
Boire ou dormir, il faut choisir...
Le talmud dans le traité de Meguila 7b : Rava dit : Un homme à l’obligation de « s’embaumer » à Pourim jusqu’à ne plus connaître la différence entre le maudit Haman et le béni Mordekhai