Les cinq dernières articles à lire ou à relire.
Qui sauve un homme…
Il est écrit dans une Mishna du Traité Sanhédrine que quiconque sauve une âme est considéré comme s’il avait sauvé le monde entier.
Parasha Bo
Hashem dit à Moshé : « Étends ta main sur le ciel, il y aura ténèbres sur le pays d’Égypte et les ténèbres s’épaissiront »
Parasha Bo
Le ‘Hatam Sofer, dans l’une de ses responsa, qualifie le commentaire du Ramban sur la Torah d’un des fondements de la foi juive et l’une des bases de la connaissance.
Parasha Bo
La Paracha Bo, que nous lirons cette semaine, commence par les versets suivants : Hashem dit à Moshé : « Rends-toi chez Par’o car j’ai endurci son coeur et celui de ses serviteurs afin d’opérer tous ces prodiges autour de lui, et afin que tu racontes à ton fils et à ton petit fils, ce que j’ai fait aux Egyptiens et les merveilles que j’ai opérées contre eux et vous reconnaîtrez ainsi que je suis Hashem »
Baba metsia. Chapitre 10, mishna 6.
La Mishna qui clôture le Traité Baba Metsia (117a) traite d’une situation pour le moins curieuse. Deux personnes possèdent chacune un jardin mitoyen l’un de l’autre, à ceci près qu’entre le terrain de Reouven, en haut, et celui de Chimon, en bas, il y a un dénivelé de plusieurs mètres.